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Manque de personnel, des responsabilités et des tâches demandées hors de nos fiches de poste car personnel non remplacé comme le poste d'ATM. Sortir les poubelles qui pèsent très lourd, donner à manger aux résidents alors que nous n'avons pas le droit... budget nourriture diminué, 2 postes d'ASH fermés.

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Manque de personnel

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Manque de personnel ! Charge de travaille trop importante, pas d'aide apportée au personnel par la direction

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Charge de travail très importante et manque de personnel

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Surchage de travail, peu d'écoute.

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Pas le temps de faire des toilettes correctes... pas de temps pour le résident... un manque crucial de soutien et de reconnaissance de la part de la directrice.

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Je ne recommande pas cet établissement pour y travailler. Le manque de moyens est constant, nous sommes régulièrement en sous-effectif et la charge de travail en devient lourde et épuisante. La direction, davantage préoccupée par l'image de l'établissement et la rentabilité que par le bien-être du personnel ou des résidents, reste sourde à nos besoins et à nos alertes. Il est d'ailleurs assez révélateur que la direction nous demande de laisser des avis Google positifs afin de redorer l'image de l'établissement et de faire remonter artificiellement la note en ligne. Personnellement, je trouve cette pratique peu professionnelle et surtout déplacée. On ne devrait pas avoir à solliciter des salariés pour manipuler une réputation numérique : la qualité réelle du travail et de l'accompagnement devrait suffire à générer naturellement des avis positifs. Dans le même esprit, on nous rappelle sans cesse qu'il faut toujours bien accueillir, sourire, ne jamais tenir de discours négatif, toujours montrer le “beau visage” de la structure… mais tout cela finit par sonner faux quand on connaît la réalité du terrain. Les résidents, pourtant au cœur de notre métier, sont trop souvent les premiers à pâtir de ce manque de temps, de moyens et parfois de compétences disponibles. Ce qui est affiché ou promis sur le papier ne reflète en rien la réalité du terrain. Pour le prix que paient les résidents, le décalage entre les promesses et la qualité réelle de l'accompagnement est flagrant et profondément regrettable. Les animations et sorties, par exemple, sont bien trop rares et limitées. Lorsqu'une sortie est organisée, comme une simple sortie à la crêperie, les résidents doivent parfois choisir entre manger ou boire, faute de budget suffisant pour les deux. Le nombre de participants est lui aussi restreint, faute de place et de moyens de transport. L'établissement ne dispose pas de minibus, ce qui complique encore davantage l'organisation des sorties, puisqu'il faut en louer un à l'extérieur — ce qui réduit encore les possibilités. Investir dans un minibus serait un vrai plus, permettant d'offrir plus de moments de plaisir et d'évasion à des personnes qui, bien souvent, n'en ont que trop peu. Les locaux, eux aussi, laissent beaucoup à désirer. De nombreux dysfonctionnements persistent sans réelle solution durable : le matériel tombe souvent en panne et n'est pas toujours remplacé, ou seulement de manière temporaire. Certains espaces sont dans un état préoccupant, avec par exemple des murs touchés par la moisissure, ou encore des installations vétustes comme des lavabos qui ne tiennent plus correctement. Pour un établissement qui demande un prix aussi élevé, l'entretien et la maintenance des lieux devraient être une priorité. Or, le suivi des locaux ne semble pas du tout en adéquation avec ce que les résidents — et leurs familles — sont en droit d'attendre Concernant les repas, au vu du prix que les résidents paient, je trouve que la qualité n'est clairement pas à la hauteur. Le pain et le fromage, par exemple, sont devenus des produits presque rationnés, distribués avec parcimonie, comme s'il fallait en surveiller chaque portion. Il arrive parfois qu'il n'y ait pas suffisamment de quantité pour tout le monde, ce qui est difficilement acceptable dans un établissement de ce type. Les repas mixés, quant à eux, sont souvent peu appétissants et ne donnent pas envie de manger. Une formation adaptée pour le personnel de cuisine serait sans doute une bonne chose, afin de redonner du goût, de la présentation et du plaisir aux repas. On a la nette impression que le budget cuisine est restreint, et pourtant, il ne devrait jamais l'être. Les résidents devraient pouvoir manger à leur faim, selon leurs envies, sans se soucier de savoir s'ils ont déjà pris “trop” de pain ou “trop” de fromage. Heureusement, j'ai la chance de travailler au sein d'une équipe soudée, bienveillante et solidaire. Nous communiquons beaucoup, nous nous faisons confiance et nous nous soutenons mutuellement, ce qui nous permet de tenir malgré des conditions de travail difficiles. Cette cohésion est sans doute ce qui empêche beaucoup d'entre nous de craquer. Cependant, malgré toute notre bonne volonté, nous sommes parfois témoins de situations qui s'apparentent à de la maltraitance. Nous faisons tout notre possible pour les faire constater et remonter, mais il est difficile de faire entendre à la direction que ces faits existent bel et bien et qu'ils ne devraient jamais être minimisés ou ignorés. Évidemment, les notes et avis que nous laissons sont bas, et devraient pourtant être pris comme un signal d'alerte. Mais si beaucoup d'entre nous restent malgré tout, c'est principalement parce que la rémunération y est plus élevée que dans les établissements alentours. On en vient même à se demander si ce salaire, plutôt avantageux, n'est pas justement une manière de faire taire les mécontentements et d'acheter le silence face aux dysfonctionnements.

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Une maison de retraite qui vende du rêve . Pas assez de personnel. Maison de retraite qui fait des restrictions sur tout ( restauration qui doit réduire les commandes) . Surtout ne pas venir travailler dans une maison de retraite. On doit toujours en faire plus pour un salaire de misère.

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Manque de personnel, mauvaise organisation, manque d'humanité...